Loin du web, loin du coeur
D’accord, d’accord, je n’ai rien ecrit depuis de longues semaines et je remarque a quel point ca ne vous manque guere. Salauds !!!!! Neanmoins, je sens arriver sans aucune retenue les vannes sur l’elimination de l’Espagne face a la France. Allez-y lachez-vous ! Les commentaires sont ouverts a tous vents ! Pire que ce que j’ai vecu aujourd’hui avec des supporters n’y connaissnat rien au football, pas possible.
Bref, me revoila sur la toile avec tellement de choses a raconter que je ne sais pas par ou commencer, et du coup je vais partir sur des inepties plus enormes les unes que les autres.
D’abord, mon eleve qui etait censee etre enceinte a pipeaute de long en large, la conne ! Ca ne retire rien a ce que j’ai pu ecrire sur Love Actually, mais la mongolienne s’est retrouvee exclue par tous. Bien fait pour sa gueule ! Connasse !
Ensuite, je suis en vacances pour pres de deux mois. Je ne pourrais pas tous vous satisfaire. Mon fan-club va souffrir, je le sais. Mais je me suis promis a certain d’entre vous et je tiendrais parole : si je vous connais depuis bientot 20 ans (en gros depuis septembre 1986. Ah ! le College Sonia Delaunay…), si vous vous mariez, si vous m’avez appris a perdre du poids ou si habitez Belmonte, je vous gratrifierais d’une visite. Sinon, tant pis. Desole ! C’est une bonne occasion pour venir me voir in sunny California si vous m’aimez tant que vous le pretendez…
Par ailleurs, je n’ai plus de platre grotesque. Depuis jeudi dernier. Mon pouce est raide comme une saillie, mais je peux me laver en mouillant completement mon corps velu et gras. Quel bonheur ! Sentir l’eau tiedasse et fetide de LA glisser sur mon corps meurtri par la violence urbaine de cette conurbation inhumaine.
Accessoirement, je rentre lundi prochain en Europe. Les filles, calmez-vous, il y en aura pour toutes. Mais je n’ai pas encore acquis le don d’ubiquite. Alors il faudra etre patiente… D’abord Maman et ma reuss, puis l’Abuela. Ensuite on verra. A vous de jouer, coquines…
Enfin, veuillez excuser la nullite de l’aurtograffe, mais j’ecris depuis un ordi qui n’a ni d’accent ni de cedille ni de correcteur.
Je n’ai rien raconte ? Trop reserve. Je raconterais quoi a qui de droit. En temps voulu. Comme le numero 2 le disait si bien au numero 6 That would be telling.
A bientot.
Bref, me revoila sur la toile avec tellement de choses a raconter que je ne sais pas par ou commencer, et du coup je vais partir sur des inepties plus enormes les unes que les autres.
D’abord, mon eleve qui etait censee etre enceinte a pipeaute de long en large, la conne ! Ca ne retire rien a ce que j’ai pu ecrire sur Love Actually, mais la mongolienne s’est retrouvee exclue par tous. Bien fait pour sa gueule ! Connasse !
Ensuite, je suis en vacances pour pres de deux mois. Je ne pourrais pas tous vous satisfaire. Mon fan-club va souffrir, je le sais. Mais je me suis promis a certain d’entre vous et je tiendrais parole : si je vous connais depuis bientot 20 ans (en gros depuis septembre 1986. Ah ! le College Sonia Delaunay…), si vous vous mariez, si vous m’avez appris a perdre du poids ou si habitez Belmonte, je vous gratrifierais d’une visite. Sinon, tant pis. Desole ! C’est une bonne occasion pour venir me voir in sunny California si vous m’aimez tant que vous le pretendez…
Par ailleurs, je n’ai plus de platre grotesque. Depuis jeudi dernier. Mon pouce est raide comme une saillie, mais je peux me laver en mouillant completement mon corps velu et gras. Quel bonheur ! Sentir l’eau tiedasse et fetide de LA glisser sur mon corps meurtri par la violence urbaine de cette conurbation inhumaine.
Accessoirement, je rentre lundi prochain en Europe. Les filles, calmez-vous, il y en aura pour toutes. Mais je n’ai pas encore acquis le don d’ubiquite. Alors il faudra etre patiente… D’abord Maman et ma reuss, puis l’Abuela. Ensuite on verra. A vous de jouer, coquines…
Enfin, veuillez excuser la nullite de l’aurtograffe, mais j’ecris depuis un ordi qui n’a ni d’accent ni de cedille ni de correcteur.
Je n’ai rien raconte ? Trop reserve. Je raconterais quoi a qui de droit. En temps voulu. Comme le numero 2 le disait si bien au numero 6 That would be telling.
A bientot.
14 Comments:
So, just tell us who's the one... Enfin, je voulais dire the number one. Be seeing you...
Je vois déjà une bouteille de parfum qui t'attend, du genre " Espoir éternel " ou " Torrides retrouvailles ". Un truc de nana, quoi...
Ah oui, pour l'Espagne c'est bête. Mais bon, tout le monde sait que la sélection espagnole ne bat jamais la France dans les compétitions qui comptent. En fait, elle ne bat jamais personne dans les compétitions qui comptent. C'est comme ça, un point c'est tout. Quand ils ne se ridiculisent pas en poule, ils sombrent dans l'un des deux tours suivants. Raul a dit qu'il n'avait jamais joué dans une sélection aussi forte. C'est faut. Celle de 2000 était fabuleuse. Malheureusement, la France était, à l'époque, imbattable. Et puis, Puyol champion d'Europe, c'est déjà la rigolade. Alors, champion du monde, faut pas pousser... " José, juegas ? "
Je vois que nous avons les references publicitaires.
Esperons seulement que cette coupe du monde aille a Addidas et non a Nike. Ceci dit, ce sera plus simple pour Addidas vu qu'ils jouent a domicile...
Surtout que l'arbitre de France-Brésil, non seulement est espagnol, mais en plus est celui qui s'est distingué en accordant un penalty fictif à l'Italie contre l'Australie...
Bon, et bien je vois que le sujet est lancé donc pourquoi ne pas en profiter... Quel engouement pour le ballon rond ici, qui scinde la "communauté noire" selon que ses représentants soient en délicatesse avec les lois sur l'immigration ou non. Enfin je suppose. Mais la dimension festive de l'évènement est exceptionnelle, pourvu qu'on soit au bon endroit, un petit bar multiéthnique du 19ème où je suis le seul représentant de nos ancêtres les gaulois... On se tape dans les mains, on se saute dans les bras, ça s'engueule un peu, c'est bon quoi. Quand à ce dernier match...
Bisous à tous les deux, Chronik je n'ai pas reçu ton CV... et Seb à très bientôt, un certain jour de l'indépendance, non?
Hello hello
petit commentaire d'un récent papa, accessoirement ancien pape du journalisme footballistique et des fautes d'orthographes (bon, oki, ça, c'est toujours d'actualité, on ne m'a pas encore changé mon cerveau pour le rendre intellectuel).
Je dirais juste que, comme les Italiens en 2000, il ne faut jamais sabrer le champagne avant la fin d'une compétition. l'Espagne se voyait championne du monde, la voici championne du monde des matchs amicaux, titre anciennement détenu par nos chers bleus pendant 60 ans.
la défense espagnole sera toujours son point faible pour la simple raison que faire jouer ensemble un catalan, un madrilène, un basque et un argentin naturalisé est un baril de poudre ambulant.
A la revoyure l'ami
Pour les Parisiens et banlieusards (dont je suis!), un nouveau bar à tapas ouvre ce samedi 1er juillet! Enfin!
La Fonda
173 rue Saint Jacques
75005 Paris
Il est ouvert par Tomàs (notre cousin-zin-zin) que certains d'entre vous connaissent. La date est d'importance puisque des écrans seront présents pour les inconditionnels des Bleus! Il est facile à trouver: à 50m à droite lorsqu'on regarde le Panthéon.
RV là-bas pour le match?
Elisa
Nobody came! Too bad... Ambiance torride (pas de clim'), bière espagnole et tapas de la tata donc, très ressemblantes à celles de la Rem... Je suppose qu'avec l'arrivée des californiens, il y aura plus d'amateurs, n'est-ce pas Matthieu, Pierre, Fabien? Et les Boll, viendrez-vous aussi?
Bon voyage à vous 4 et surtout attendez-moi si vous ne me voyez pas tout de suite!
Bises
Elisa
Navré de n'avoir pu venir, j'étais pris dans l'euphorie des festivités qui ont suivi France-Brésil... Toutes les supportrices auriverde (oro y verde) en pleurs, il fallait bien quelqu'un pour les consoler, non ?
Un Zidane magique
efface le carré « tragique »
La Seleçao et son « carré magique » ont été étouffés par des Bleus solides et inspirés, conduits à la victoire par un Zidane grandiose.
Pelé avait un « mauvais pressentiment ». Comme sur le terrain, du temps de sa splendeur, le « roi » avait compris avant les autres. Il savait que l’heure de la retraite n’avait pas encore sonné pour Zinedine Zidane. Et surtout pas quand le meneur des Bleus s’adonne à un tel récital. Grandiose, magistral, Zidane a été, selon Pelé, « le magicien du match ». Comme une référence un brin sarcastique au trop fameux, sans doute, « carré magique » avancé par la Seleçao. De fait, étouffé par une équipe de France collectivement intraitable, il restera plutôt en mémoire comme le « carré tragique ». Celui qui n’est jamais parvenu à éblouir spectateurs et observateurs depuis le début de la compétition. Dernière équipe à avoir battu le Brésil en Coupe du monde, la France met fin à la série de onze victoires consécutives des Auriverde, établie depuis la finale de 1998.
Moins époustouflant que la version 1986 de Guadalaraja, moins aboutie — à tout le moins du point de vue français — que celui de 1998, ce France-Brésil s’inscrit néanmoins, et de manière indéniable, dans la légende du Mondial. Parce que les rencontres qui opposent les deux nations ont toujours un parfum unique. Le match de samedi n’a pas dérogé à la règle. Même si les Brésiliens, dominés, n’ont jamais été en mesure de véritablement inquiéter les Français. Sauf en fin de rencontre, grâce notamment aux rentrées de Robinho et Cicinho. Dans le jeu, les joueurs de la Seleçao n’ont frappé en direction de Barthez qu’à deux reprises. Une statistique qui illustre parfaitement l’impuissance de Ronaldinho et des siens.
La formation tricolore, identique à celle qui avait terrassé les Espagnols quelques jours plus tôt, a fait preuve de solidité et de détermination. Les Bleus, sous l’impulsion de Vieira et Makele, maîtres du milieu de terrain, ont privé les Brésiliens de ballon pendant la quasi-totalité de la rencontre. Sur leur aile gauche, Malouda et Abidal ont fait vivre un enfer à Cafu, qui a eu bien des difficultés à suivre le rythme imprimé par les deux jeunes gauchers français, qui s’entendent à merveille. De l’autre coté, Ribéry a, une fois de plus, été insaisissable. Roberto Carlos ayant certainement le chiffre « 22 » gravé en mémoire, puisqu’il a couru après pendant près de 90 minutes ! Mais c’est tout le « bloc » français qui a permis à cette équipe de s’imposer. Celui dans lequel Ronaldo, Kaka, Ronaldinho et les autres sont systématiquement venus s’emmeler les pinceaux.
La France a donc gagné le droit d’affronter le Portugal en demi-finale. Une première en Coupe du monde. Une habitude à ce niveau de compétition. Au championnat d’Europe des nations, les deux confrontations entre ces sélections (1984 et 2000) se sont achevées par des victoires tricolores in extremis, au bout des prolongations (3-2 puis 2-1). Nul doute que Figo et Cristiano Ronaldo auront à cœur de mettre un terme à la malédiction française qui frappe le Portugal depuis tant d’années. Zidane, lui, ne veut que deux choses : repousser ses adieux, et s’offrir une retraite étoilée.
Magnifique chronique, Chronik... Seb, quand tu es en France tu m'appelles? Ta mam a mon numéro de port.
Béco,
Pierre
Ils ont le don de faire durer le suspense, insoutenable...
Tiens, je suis heureux ce matin. Bisou poteau, bonne rentrée chez les timbrés bodybuildés...
Pierre
Tiens, je suis encore heureux ce matin, et mes pensées vont à mon camarade d'outre-atlantique. Alors, pas de nouveau texte en vue? Trop pris par ta rentrée des classes? Les commentateurs ne sont pas foule non plus, soit dit en passant. Il serait bon, cher lecteur et donc cher camarade car je pense connaître presque chacun dans cet espace de débat passionnel, que nous rediscutions un peu, au mois sur l'absence de nouveau texte de notre expatrié préféré que nous n'allons pas voir parce que nous sommes de mauvais amis... Hep, c'est la rentrée, et il fait beau. Vive la vie,
Pierre
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